En 2009, 8,6 % des exploitantes ont suivi une formation, contre 13,5 % des exploitants agricoles. Selon Vivea, plusieurs facteurs expliquent cet écart : le temps consacré par les femmes à leur famille, mais aussi le fait qu'elles s'occupent généralement des tâches répétitives qu'elles peuvent difficilement abandonner pour aller se former. La succession de différents statuts dans leur carrière est également un frein à l'accès à la formation.