Les rangs des partisans du maintien des droits de plantation ne cessent de s'étoffer. Début mai, Rosa Aguilar, la ministre espagnole de l'Agriculture s'est dite « absolument opposée » à la libéralisation des plantations. Chypre, le Luxembourg, le Portugal et la Roumanie s'étant ralliés à la cause dès mi-avril, cela porte à dix le nombre d'Etats membres opposés au projet de la Commission européenne, les autres étant la France, l'Allemagne, l'Italie, la Hongrie et l'Autriche.