À l'heure où nous mettions sous presse, la Fédération des grands vins de Bordeaux avait décidé de réunir, le 13 octobre dans ses locaux, les onze députés et six sénateurs girondins pour leur rappeler tout le danger que représente la disparition des droits de plantation inscrite dans les textes européens. Dans la foulée, la Fédération des grands vins devait envoyer à tous les élus à la tête de communes, de communautés de communes, du conseil général et du conseil régional, une lettre leur demandant de signer une motion favorable au maintien des droits de plantation. Une façon de maintenir la pression.