“En l'état actuel du parc moyen de matériel et de ses technologies, demander à un viticulteur de réduire ses consommations de produits de 50 % reviendrait à lui proposer de se rendre à un rendez-vous pour le lendemain à l'autre bout de la France sachant pertinemment qu'il n'a qu'un vélo pour se déplacer…”