Le 29 novembre, un consortium d'organisations viticoles européennes, aidé par la société Afepasa, a déposé le dossier d'évaluation du soufre biocide auprès des autorités allemandes en charge de l'examiner pour la Commission européenne. Sans ce dossier, la Commission menaçait d'interdire les mèches et les pastilles de soufre. Le document précise l'efficacité du SO2 et évalue sa toxicité pour l'homme et l'environnement. Au vu de ces données, la Commission décidera d'ici douze à dix-huit mois du sort des pastilles et des mèches.