La viticulture n'a pas la souplesse de la production industrielle. On ne peut pas adapter les volumes à vendre à la demande du marché… Parfois, on doit faire face à une nature généreuse alors que la crise sévit et que les consommateurs n'achètent pas.
Parfois, c'est l'inverse : on a une toute petite récolte et on doit faire face à des marchés en pleine expansion.