Il y a quelques années, les négociants nous répétaient qu'il leur fallait plus de liberté pour créer des marques fortes.
Ils ont obtenu les vins de cépages sans indications géographiques. Pour autant, je ne vois pas les négociants s'engager dans des partenariats pour s'assurer un approvisionnement de ces VSIG. En revanche, je vois que nos vins français perdent des parts de marchés à l'export d'année en année.”