FranceAgriMer a étudié les ventes de vins tranquilles en grande distribution. L'organisme a constaté que la part de marché en volume des rosés a quasiment triplé depuis 1990, passant de 11 % à 28 % en 2012. Cette croissance du marché s'est faite au détriment des vins rouges. Ce sont les vins à indication géographique protégée (IGP) qui ont le plus bénéficié de cet engouement pour le rosé.
Ils gagnent 6 points entre 2000 et 2012 et pèsent désormais 44 % du marché des rosés. La part des appellations est restée stable (autour de 44 %). À l'inverse, les volumes de rosés sans indication géographique sont passés de 20 % à 12 %