« Dans les quatre ans à venir, l'offre en vins bios en Gironde va doubler. Nous allons avoir besoin d'aide pour faire comprendre aux acheteurs que nos coûts de production sont plus élevés qu'en conventionnel », a expliqué un vigneron bio à Stéphane Le Foll lors de sa visite à Bordeaux, le 30 août. Une aide que le ministre de l'Agriculture s'est bien gardé de promettre. « Appuyez-vous sur votre capacité à commercialiser, lui a-t-il répondu. Posez-vous la question de l'adéquation entre votre offre et la demande. »