« Les torts sont partagés. Le viticulteur a raison sur le fond : sa vigne était là bien avant que l'autre construise sa maison. Donc, le voisin savait à quoi il s'exposait. C'est comme construire au bord d'une rivière et s'étonner un jour d'être inondé ! Le voisin a raison sur la forme : un dimanche fête des Mères ! Le viticulteur aurait dû aller le voir pour s'entendre sur le moment pour sulfater par courtoisie de bon voisinage. Là, on dirait des hommes de Cro-Magnon ! »