Le 17 février, le rapporteur public du Conseil d'État a rendu son avis sur quatorze IGP effervescentes. Il en retoque douze et n'en valide que deux petites : Maures et Hautes-Alpes. En effet, ces deux indications bénéficient d'une réelle antériorité de production. Et elles expliquent bien leur lien avec leur territoire, contrairement aux douze autres dont le lien au terroir n'est pas assez bien explicité. Reste au Conseil d'État à se prononcer.