Deux notions sont inséparables : la liberté et la responsabilité. Les viticulteurs ont fait tous les efforts nécessaires pour donner de leur profession l'image d'une grande responsabilité dans la qualité des produits comme dans leur mise en marché et leur vente. À vouloir encadrer les messages de prévention, on retire au diptyque son autre volet, la liberté. On ne considère plus les vignerons comme libres, capables de dire et de voir par eux-mêmes ce qui est nécessaire pour éviter des excès que tout le monde dénonce. (...) Les producteurs de vin sont libres et responsables : ils doivent le rester !