Après l'ODG des crus, celle des beaujolais et beaujolais-villages va aussi quitter l'UVB (Union viticole du Beaujolais) et ce dès la fin de l'année. Un choix par défaut. L'UVB doit désormais réfléchir à sa restructuration centrée « uniquement sur la commission commerciale, les ventes de capsules et une structure porteuse du plan collectif de restructuration », précise un communiqué. Délestée de ses tâches syndicales, l'UVB voit son budget amputé d'au moins 220 000 euros. Des licenciements paraissent donc inévitables.