Les courtiers sont satisfaits : leur profession ne connaîtra pas de libéralisation sauvage. Dans la nuit du 9 au 10 juin, l'Assemblée nationale a voté en faveur des trois amendements leur assurant un statut réglementé. Ces textes étaient déposés dans la loi Sapin 2 pour la modernisation de la vie économique. « Nos arguments ont été retenus, notamment celui de l'intérêt de la filière d'avoir des professionnels formés », avance Jérôme Prince, président des courtiers