Ce mot hérisse quelques responsables professionnels. Il figure dans la Stratégie nationale de santé 2018-2022, publiée début novembre par le ministère de la Santé, dont le but est de réduire le nombre de personnes souffrant d'addictions au tabac, à l'alcool, aux substances psychoactives licites et illicites. Pour cela, il est question de la « dénormalisation » de ces substances. Le ministère ira-t-il jusqu'au bout desa logique pour considérerla consommation devin comme anormale ?La filière veille au grain.