BASF, qui se définit comme « leader mondial de la chimie », et PAT, PME lorraine, de type start-up spécialisée dans la recherche de molécules « biosourcées », avaient déjà signé un accord de partenariat en 2016.
Le 15 octobre 2018, elles ont renouvelé leur engagement en signant un nouvel accord. PAT produit des molécules, y compris des substances réputées « non biosourçables », en les faisant produire par des plantes très diversifiées et en les extrayant grâce à ses technologies de pointe, marques déposées Target Binding et Plant Milking, littéralement « traite de végétaux ».
Du reste, PAT signifie « Plant Advanced Technology » mais il est courant de dire « plantes à traire ». BASF se chargera de la suite du développement des molécules identifiées. Le but est de concevoir de nouvelles substances naturelles d'origine végétale, à utiliser comme biofongicides.