Sept nouveaux projets de recherche s'ajoutent aux 14 sélectionnés en 2017 et 2018 pour bénéficier d'un cofinancement partagé entre l'État et la profession viticole (1,647 million d'euros) à la suite de l'appel à projet 2019. Engagés dès ce deuxième semestre 2019, ils se dérouleront sur trois ans et demi. Ils concernent : les marqueurs moléculaires du dépérissement du bois de vigne, l'effet de l'ébourgeonnage sur l'expression des symptômes, l'analyse technico-économique de l'impact des pratiques culturales de lutte, un état des lieux sur une virose émergente, l'utilisation des jachères contre le court noué, la diversité et les interactions des communautés virales et fongiques, les relations entre la fertilité des sols et le dépérissement de la vigne. Le prochain appel à propositions sera émis à l'automne 2019.
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