Le 21 février, sur le stand « Bonnes pratiques » du SIMA, le GIP Pulvés faisait le point sur le contrôle obligatoire des pulvérisateurs. Les chiffres présentés par Vincent Polvèche (photo), Directeur du GIP, correspondent à la situation terrain de fin décembre.
Ainsi, 36 825 appareils ont été contrôlés depuis début 2009, dont 6 670 en 2009, démarrage du dispositif, et 30 155 en 2010.
Environ les 2/3 des « pulvés » arrivant au contrôle étaient conformes au « bon état » exigé. Mais 88 % en sont sortis sans avoir besoin de contre-visite...
Les défauts faciles à réparer (ex. buses ou manomètre à changer) l'ont été sur place, par le contrôleur ou le concessionnaire chez qui souvent le contrôle avait lieu. Ainsi le contrôle a eu un effet positif sur la situation qu'il inspectait.
Reste une question : que risquent ceux qui sèchent les contrôles ? « Attention, précise V. Polvèche, en 2010 les autorités ont joué la pédagogie. Simples rappels à la réglementation et demandes de réaliser le contrôle... Mais c'était la première année. »
La liste des organismes de contrôle est sur le site du GIP :
www.gippulves.fr
Réactualisée au 18 février, elle comprend 95 noms dont certains recouvrent un réseau(1).
Plus de détails prochainement.
<p>(1) Cas du Crodip breton, un des 95 mais qui fédère une quarantaine d'organismes.</p>