ImprimerL'ambassade de France en Israël sera présente à Vinexpo. Patrick Ebers, l'adjoint de son conseiller commercial, souhaite ainsi sensibiliser les producteurs sur les opportunités du marché israélien.Ce pays a connu une forte immigration ces dernières années. De plus, les modes de consommation ont changé. L'importation de vin casher existe bien évidemment mais une demande de vin non casher se dessine.D'autre part, l'Israël produit plus de blanc que de rouge alors qu'aujourd'hui, la consommation s'équilibre entre les deux couleurs. Du coup, entre 1992 et 1995, les importations de vin ont presque triplé. L'approche du marché israélien des vins et spiritueux est peu aisée et les taxes demeurent très élevées. Cependant, les choses risquent de s'améliorer. ' Il convient d'être présent dès aujourd'hui pour anticiper l'ouverture de ce marché et répondre à la demande croissante. Les Américains, les Italiens, les Chiliens ou les Sud-Africains sont déjà présents ', indique Patrick Ebers.Les Israéliens consomment aujourd'hui chaque année 4,25 l/habitant en moyenne. Ils produisaient 250 000 hl de vin en 1994 et 71 000 hl de spiritueux (chiffres de 1993). 60 % de l'ensemble de cette production proviennent d'une coopérative, Carmel Wineries.
L'ambassade de France en Israël sera présente à Vinexpo. Patrick Ebers, l'adjoint de son conseiller commercial, souhaite ainsi sensibiliser les producteurs sur les opportunités du marché israélien.Ce pays a connu une forte immigration ces dernières années. De plus, les modes de consommation ont changé. L'importation de vin casher existe bien évidemment mais une demande de vin non casher se dessine.D'autre part, l'Israël produit plus de blanc que de rouge alors qu'aujourd'hui, la consommation s'équilibre entre les deux couleurs. Du coup, entre 1992 et 1995, les importations de vin ont presque triplé. L'approche du marché israélien des vins et spiritueux est peu aisée et les taxes demeurent très élevées. Cependant, les choses risquent de s'améliorer. ' Il convient d'être présent dès aujourd'hui pour anticiper l'ouverture de ce marché et répondre à la demande croissante. Les Américains, les Italiens, les Chiliens ou les Sud-Africains sont déjà présents ', indique Patrick Ebers.Les Israéliens consomment aujourd'hui chaque année 4,25 l/habitant en moyenne. Ils produisaient 250 000 hl de vin en 1994 et 71 000 hl de spiritueux (chiffres de 1993). 60 % de l'ensemble de cette production proviennent d'une coopérative, Carmel Wineries.