L'essai met en comparaison sept bouchons (naturel première qualité, colmaté quatrième qualité, moulé, extrudé, moulé avec rondelles naturelles, moulé avec rondelles colmatées et capsule à vis). Tous servent pour le même vin : un rosé des côtes du Rhône. Quatre mois après la fermeture des bouteilles, l'une d'entre elles dénote déjà. Elle renferme un vin moins frais et moins franc que les autres. Elle est fermée par un bouchon en aggloméré extrudé. Au bout de vingt mois, le centre oenoagronomique et la société NTO de Suze-la-Rousse arrêtent l'essai qu'ils font avec Péninsuliège. Leur première observation se confirme : l'extrudé utilisé entraîne une oxydation et des goûts liégeux plus marqués. Avec lui, les bouteilles couleuses sont plus nombreuses. Les résultats paraissent logiques quand on considère que ce bouchon exerce un retour élastique et une force de compression inférieurs aux autres. On est tout de même surpris de voir la rapidité avec laquelle les différences sont apparues.
L'essai met en comparaison sept bouchons (naturel première qualité, colmaté quatrième qualité, moulé, extrudé, moulé avec rondelles naturelles, moulé avec rondelles colmatées et capsule à vis). Tous servent pour le même vin : un rosé des côtes du Rhône. Quatre mois après la fermeture des bouteilles, l'une d'entre elles dénote déjà. Elle renferme un vin moins frais et moins franc que les autres. Elle est fermée par un bouchon en aggloméré extrudé. Au bout de vingt mois, le centre oenoagronomique et la société NTO de Suze-la-Rousse arrêtent l'essai qu'ils font avec Péninsuliège. Leur première observation se confirme : l'extrudé utilisé entraîne une oxydation et des goûts liégeux plus marqués. Avec lui, les bouteilles couleuses sont plus nombreuses. Les résultats paraissent logiques quand on considère que ce bouchon exerce un retour élastique et une force de compression inférieurs aux autres. On est tout de même surpris de voir la rapidité avec laquelle les différences sont apparues.