Les travaux menés à l'Inra de Bordeaux expliquent les différences de sensibilité entre les populations précoces d'oïdium, formant des drapeaux, et les populations tardives. Des moléculaires ont permis de prouver que les souches issues de la reproduction sexuée (des cléistothèces) sont génétiquement différentes de celles présentes sous forme de drapeaux. Les chercheurs parlent de deux biotypes n'ayant pas les mêmes exigences biologiques. Les méthodes de lutte doivent donc certainement être ajustées.
Les travaux menés à l'Inra de Bordeaux expliquent les différences de sensibilité entre les populations précoces d'oïdium, formant des drapeaux, et les populations tardives. Des moléculaires ont permis de prouver que les souches issues de la reproduction sexuée (des cléistothèces) sont génétiquement différentes de celles présentes sous forme de drapeaux. Les chercheurs parlent de deux biotypes n'ayant pas les mêmes exigences biologiques. Les méthodes de lutte doivent donc certainement être ajustées.