En coteaux du Layon, les parcelles situées sur des sols profonds de plateau voient arriver la pourriture bien avant celles sur des sols schisteux minces et en pente, selon l'Inra d'Angers. Dans les premières, les attaques n'évoluent en pourriture noble que les années sèches et précoces. Elles se prêtent rarement à l'élaboration de liquoreux. En revanche, les sols minces s'y prêtent tous les ans. Les années sèches, la surmaturation provient du passerillage, les années humides de la pourriture noble.