Globalement, les fermentations se sont bien passées. En Alsace, on a même noté une fermentescibilité supérieure aux années précédentes. Ponctuellement, il a fallu faire des apports d'azote assimilable, voire de nutriments plus complexes dans les moûts carencés à la suite de la sécheresse. En Bourgogne, les degrés élevés ont induit des fermentations très lentes, les levures souffrant de l'accumulation d'alcool. A Chablis, dans le Jura et à Gaillac, quelques fermentations tardent également à finir.