Les douanes mettent fin à un de ses débouchés

En 2001, lorsqu'il rachète la propriété, Jean-Philippe Thomson reprend également le contrat établi par son prédécesseur, avec Sautejeau-Bocquin. D'un genre particulier, il permet au négociant de bénéficier de la mention ' mise en bouteille à la propriété' , et de la capsule récoltant, sur les vins vinifiés chez lui, dans la mesure où il loue ses cuves au vigneron. Pour la vendange 2001, Jean-Philippe renouvelle l'accord pour 160 hl, sur 460 hl produits. ' Je n'avais jamais vinifié, je n'avais pas de clients, je voulais me garantir un volume et j'étais extrêmement content de pouvoir bénéficier de cette solution alternative ', précise Jean-Philippe.
Courant 2002, un courrier des douanes met fin à l'aventure, précisant que le contrat de location constitue, à ses yeux, une prestation de service.