La composition du vin a plus d'impact sur le déroulement de la malo que le pH ou le degré alcoolique, d'après des chercheurs australiens. Ils ont pu relancer des malos languissantes en ajoutant des extraits de levures, en collant ou chauffant le vin, quels que soient le pH et le degré. Cela suggère que les carences du vin ou la présence de composés toxiques gênent davantage la croissance des bactéries que le degré ou le pH.