Sur l'ensemble du vignoble, les malos se sont enclenchées et déroulées sans souci. « La douceur d'octobre et la faible quantité de malique, associées à un IPT et des degrés raisonnables cette année, ont favorisé le déroulement des malos », précise Frédéric Mignot, du CIVRB à Bergerac. En Bourgogne, « on préfère réaliser les malos au printemps. On est obligé de freiner les bactéries avec du lysozyme », complète Emmanuel Charpentier, du Laboratoire Bouchard.