Fin août, le Bureau national interprofessionnel du cognac observait, lors des contrôles de maturation, des teneurs en azote assimilable des moûts très faibles, inférieures à 60 mg/l. L'observatoire des Côtes du Ventoux faisait la même remarque, puisque 98 % des parcelles de ce réseau étaient carencées. Les oenologues sensibilisaient les vignerons aux risques fermentaires : arrêt de fermentation, augmentation des odeurs soufrées.