' Il y a une vraie volonté d'aider la filière et de bouger, apprécie René Renou, président du Comité national des vins de l'Inao. La filière doit sortir de l'inertie dans laquelle elle est enfermée. Le plus grave, ce serait de persister. Ce plan va nous aider à bouger. Mais pour l'instant, il s'agit de propositions. Pour les copeaux, on verra ce qui nous paraît acceptable. Il faut en discuter au sein de l'Inao. Mais on ne pourra pas garder une réglementation uniforme pour toutes les AOC. Quant aux 90 Meuros, c'est une bonne chose. Mais il faut qu'une économie vive par elle-même, et non d'aides. '