Cette année, dans le Bordelais, on observe nettement moins de cuves à notes phénolées que l'année dernière, au même stade des vendanges. Françoise Ligou, du Centre oenologique de Soussac, pense que « cette présence moindre des brettanomyces s'explique sans doute par les pluies de septembre, mais aussi par les caractéristiques de la vendange. Les fermentations sont courtes et franches. On laisse moins cuver et les malos s'enclenchent vite. »