« Cette année, nous avons beaucoup moins de brettanomyces qu'en 2005, remarque Françoise Ligou, du Centre oenologique de Soussac (Gironde). Nous n'avons aucune apparition de goûts phénolés en cours de fermentation. » En Anjou, par contre, « nous avons une recrudescence de brettanomyces , précise Jacques-Antoine Toublanc, du Litov. Nous avons dépassé les niveaux de 2001. Il faut surveiller les cuves, c'est inquiétant ».