« Mieux vaut s'appuyer sur une tierce personne plutôt que de ne rien faire »
«On ne peut pas s'absenter facilement de son exploitation », argumente Geneviève Barmes, à la tête d'un domaine de 15,5 ha, commercialisant 90 000-100 000 cols par an. Or, si l'on ne passe pas chez son client régulièrement, on est vite oublié. Surtout à Paris où la concurrence entre les fournisseurs est vive. « Notre agent a développé nos ventes dans la capitale et elles progressent. »
Il y a quelques années, le domaine a signé un contrat avec un agent chargé des restaurants parisiens. Il leur vend tous les vins du domaine. « Nous l'avons rencontré à l'occasion du Salon des caves particulières, à Paris. Il lui manquait un vin d'Alsace. C'est comme cela que nous avons décidé de travailler avec lui. Il vaut mieux confier ses ventes à une tierce personne plutôt que de ne rien faire . »