Au printemps 2009, dans le Beaujolais, de nombreuses vignes ont dépéri, indique « La Tassée beaujolaise » de décembre 2009. Elles avaient subi des excès d'eau en 2007 et en 2008 qui avaient provoqué une importante mortalité des racines. Elles n'ont donc pas eu une alimentation en eau suffisante lors des fortes chaleurs et du déficit hydrique en mai 2009. Les pousses se sont alors rabougries et des carences minérales induites sont apparues. Certains ceps n'ont pas survécu. Les conseillers viticoles insistent sur la nécessité de planter les vignes sur un sol adapté, de bien drainer les parcelles et de décompacter le sol.