Quand un membre d'une famille décide de compter ce qu'il met au pot commun, c'est la brouille assurée.
En épluchant le budget de son interprofession, un responsable de la viticulture bourguignonne a vu que près des trois-quarts des CVO seraient versés par la viticulture.
Cela s'expliquerait par le fort développement de la vente directe, cette dernière décennie… Le négoce répond que pour bien calculer, il faut compter les CVO payées par les négociants producteurs, lorsqu'ils vendent leur propre récolte. Ce à quoi la production rétorque : il y a aussi les CVO payées par des producteurs qui font du négoce… Quand on vous dit que certains calculs virent vite au règlement de… comptes.