Les pluies printanières avaient permis de remplir les réserves en eau des sols, dans le Languedoc-Roussillon et à Bordeaux. « Mais il n'a pas plu depuis mi-juin, regrette Jacques Rousseau, responsable de l'observatoire du millésime du Languedoc-Roussillon. Et comme il y a eu beaucoup de vent, les vignes souffrent de stress hydrique. S'il ne pleut pas en septembre, les rendements risquent d'être faibles. »
A Bordeaux, l'été a aussi été très sec. Sur certains secteurs, comme les sols de sables, on craint que le déficit hydrique ne perturbe la maturation des raisins.