39 % du total des aides de l'OCM-vin sont allés à la restructuration des vignobles cette année, soit 381 millions d'euros. Cette mesure est de loin la première à laquelle les viticulteurs européens font appel. La distillation des alcools de bouche et celle des produits viniques arrivent en deuxième et troisième positions. En France, restructuration, investissement dans les chais et distillation des prestations viniques composent le trio de tête pour 2010.