“Le bio, c'est bien. Mais il y a d'énormes risques économiques de perte de récolte. A ce jour, ce n'est pas le consommateur qui achète des vins bios, mais les distributeurs. Le consommateur, ce qu'il veut, c'est un produit sain pour lui et respectueux de l'environnement. On peut lui offrir cela avec la production raisonnée.”