« Un site internet est une ouverture sur le monde », explique Evelyne Resnick, auteur du « Guide pratique de marketing et promotion du vin sur internet », (éditions Dunod, 2010). Rares sont ceux qui peuvent se passer d'une telle vitrine, surtout s'ils veulent travailler à l'export. Il faut alors « traduire le site au moins en anglais, la langue internationale des affaires, poursuit la spécialiste. La majorité des internautes maîtrisent cette langue et peuvent consulter un site plus facilement en anglais qu'en français ». Ensuite, tout dépend de votre stratégie à l'international. Une chose est sûre, il faut autant de langues que vous avez de marchés cibles. Pour la traduction, vous pouvez faire appel à un ami s'il est natif du pays en question. Sinon, il est préférable de s'en remettre à un professionnel. Le travail est généralement payé au mot. « Pour les langues occidentales, le prix moyen est de 0,15 € par mot et pour les langues orientales et le russe, environ 0,22 € », selon Evelyne Resnick.