Créé au début de l'année, le Comité de défense des vignerons du Languedoc (CDVL) revendique une vingtaine d'adhérents, dont deux coopératives. Il appelle les vignerons à ne plus payer les CVO au Conseil interprofessionnel des vins du Languedoc (CIVL). Les opérations menées par le CIVL « intéressent surtout les gros opérateurs. Le retour sur investissement pour les petits qui travaillent surtout le marché national ou européen est quasi inexistant », explique Robert Curbière, président du CDVL et membre de la Confédération paysanne.