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Autant le dire

“Pas de vrac sans partage de la plus-value”

Michel Bernard, secrétaire général d'Inter-Rhône - La vigne - n°243 - juin 2012 - page 6

On entend souvent dire qu'il faut privilégier le transport du vin en vrac car il est plus respectueux de l'environnement, vu que son empreinte carbone est moindre. C'est un bon argument mais il ne faut pas se limiter à ce seul aspect du problème. Il faut aussi se poser la question du partage de la plus-value. Si la plus value dégagée n'est pas équitablement partagée, alors le transport en vrac signifiera, à terme, la paupérisation du vignoble. Et cela, ce n'est pas du développement durable…

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