On constate un certain retour à l'équilibre sur la plupart des marchés du vin. C'est notamment le cas du vignoble des côtes du Rhône dont la situation s'améliore depuis deux ans. Ce mieux a été très difficile à obtenir. On y est parvenu notamment grâce à l'argent du contribuable qui a permis de financer des arrachages. Maintenant que l'on commence à peine à récolter les fruits de ces efforts, ce serait de la folie pure que de vouloir libéraliser à tous crins les plantations !”