C'est la somme que la France, l'Espagne et le Portugal ont mis en commun pour élaborer le dossier du SO2 biocide et conserver l'usage du méchage au soufre. Organisations professionnelles, tonneliers, œnologues, bouchonniers et un industriel financeront le projet. Le dossier, sur lequel travaille un cabinet allemand expert en chimie, devrait être déposé auprès d'un organisme national allemand à l'automne, puis auprès de la Commission européenne.