Aujourd'hui, un viticulteur ne peut pas s'en sortir s'il n'a pas de compétence commerciale. C'est dur à accepter et à mettre en pratique… C'est comme si on me demandait d'apprendre un autre métier à trente ans passés ! En plus, cette nouvelle fonction prend beaucoup de temps. Rencontrer les clients, participer à des salons… Au final, je n'arrive plus à tout faire et je me demande si je ne vais pas devoir en faire moins au domaine. Le risque, c'est que la qualité de mon vin s'en ressente…