J'avoue que j'ai un peu de mal à atterrir [...] Je ne sais pas par quel bout commencer... Au début, New York, ça me faisait l'effet d'Astérix et Obélix à Rome : « Ouais, ce n'est pas plus grand que notre village. » Mais quand même : tout est démesuré, sauf les gens qui, bizarrement, font la même taille que nous. Des gens hyperaccueillants, «crazy about my wines», hyperdémonstratifs quand ils aiment... Et, c'est marrant, j'ai découvert des domaines voisins au mien, inconnu en France...
En tout cas, si j'ai bien compris, l'activité préférée des New-yorkais (dans le métro, parce que c'est là que j'en ai vu le plus), c'est la tablette ou le smartphone.
Si on m'avait dit, quand j'ai démarré, que j'irai visiter New York pour bosser... Je n'envisageais pas le métier de vigneron comme ça.
Lu sur le blog du domaine du Clos du pigeonnier à Pélussin (Loire)