« Le vignoble européen perd 1,3 % de surface par an, en rythme de croisière. Dans ce contexte, le 1 % de droit à la croissance qui vient d'être décidé va au mieux stabiliser la perte. Pour les vins que je représente, c'est donc insuffisant. Nos produits sont dans une stratégie de conquête des marchés. Je suis donc déçu. Là où tout reste à faire, c'est sur la gestion de ce 1 %. À l'Anivin, nous militons pour une décision dans le cadre interprofessionnel. Nous souhaitons que les autorisations nouvelles soient attribuées selon la performance économique des produits. »