La situation du marché du vrac à Bordeaux met les négociants sur le grill : ils n'ont pas de visibilité sur les marchés à la consommation, mais, en revanche, ils voient le cours des vins augmenter de semaine en semaine. Une partie d'eux-mêmes leur dit de rester prudents, de ne pas trop se couvrir... Et une autre leur dit que la récolte étant déficitaire, ils risquent de manquer de vin s'ils tardent trop à passer aux achats... Entre deux maux, lequel choisir ?