Ou presque fini... Les dégustations primeurs 2013 : restent quelques clients et des journalistes critiques, prenant leur temps, non addicts aux scoops Facebook ou Twitter !
Que dire que l'on ne vous ait pas déjà dit ? Le millésime 2013 a retrouvé un peu sa vraie place : millésime moyen à faible, sauf chez les meilleurs où là, on frôle le bon. Oui, mais le marché à ce jour s'en fout complètement. Les vins seront vendus en primeur pour certaines belles marques, et comme d'habitude, tout le monde se plaindra... Les vendeurs (pas assez cher), les acheteurs (trop cher)... En fait, il manque l'excitation d'un grand millésime, le frisson de la spéculation que personne n'aime mais qui fait rêver. Les châteaux en Espagne, n'est-ce-pas ?