« La filière n'a pas le choix. Après deux ou trois années difficiles selon les vignobles, on le voit bien, la production française est au plus bas. Ces conjonctions de maladies et de météo peu clémente mettent à mal nos stocks et notre compétitivité. Je suis moi-même contraint de refuser des ventes à l'exportation pour privilégier la vente directe et mes clients intérieurs. Nous avons tous besoin, partout, de faire un millésime 2015 excellent aussi bien en qualité qu'en quantité. Espérons que les vents nous seront favorables ! »