« Les députés ont fait leur boulot pour éviter le pire, par rapport aux attaques et amendements déposés à la loi de santé publique. Mais ça ne suffit pas ! Aujourd'hui, on ne touche pas du tout à la loi Évin. Il faut au contraire approfondir les choses. L'amendement ajouté au Sénat va dans ce sens. Il faut que l'ensemble des parlementaires soient mobilisés pour remporter définitivement un combat à moitié gagné. Si le texte est adopté sans toucher une virgule, nous pourrons dormir tranquille : quand un journaliste fera de la communication sur une région viticole, il ne risquera plus d'être condamné. Il en sera ainsi fini du fonds de commerce de l'Anpaa, qui vit des subventions que l'État lui verse et des procès qu'elle gagne. »