« Depuis 1976, nous nous sommes battus face à l'Inao, avec l'Inra de Bordeaux, pour faire reconnaître des cépages métis et des cépages résistants, avec beaucoup de difficultés pour l'armagnac, le floc de Gascogne et les vins de pays de Gascogne. Quarante ans de perdus. Enfin un espoir de voir reconnaître les résultats de la recherche et de l'innovation. Nous en avons un besoin urgent. Il faut réformer ou supprimer les fonctionnaires de l'Inao et de l'Ena. Battons-nous. »