Si l'ampleur de ce qu'on qualifie comme « fraude » [chez le négociant Raphaël Michel, NDLR] est avérée, comment se peut-il que des services de contrôle n'aient rien vu ? J'ai lu que la suspicion de fraude porte sur 300 000 hl. Si le « contrôle » a réellement été défaillant sur un tel volume, est-ce acceptable en termes de « compétence » et de responsabilité de notre administration ? Ne serait-on pas en droit d'imaginer un scénario de « défaillance assumée », voire répréhensible ? Je reste bien sûr prudent sur cette hypothèse mais quand même, comment croire à une fraude si énorme sans quelque complaisance ?